Walter Goehr, qui signa tant de disques stylés pour la Guilde fut, on l’oublie, l’élève de Schoenberg et dès ses vingt ans, chef de l’Orchestre de la Radio de Berlin, se vouant aux œuvres de ses contemporains Continuer la lecture de Temps de Londres
Sixième station
Le voyage continue. Pierre Hantaï aura abordé Scarlatti de Rameau : à deux ans près, ils sont contemporains, l’occasion de porter cet éclairage singulier aura tôt fait d’exalter ce qui chez Scarlatti est absolument moderne comme chez Rameau ce qui sera révolutionnaire Continuer la lecture de Sixième station
Seule
Un théâtre de pierre, le Manège des Rochers débarrassé de ses arcades, aura recueilli la plus stupéfiante mise en scène de la Salome de Strauss que Salzbourg n’ait jamais vue. Romeo Castellucci installe dans ce vide le foisonnement de ses signes symboliques Continuer la lecture de Seule
D’amour à mort
La Compagnie del Madrigale s’est lancée voici quelques années dans une intégrale toujours en cours des Madrigaux de Gesualdo, je croyais l’entreprise salutaire, après tout on n’avait pas vraiment d’alternative au geste expressionniste Continuer la lecture de D’amour à mort
Sombres forêts
Mariss Jansons le sait bien : Mahler inventa dans sa Première Symphonie un nouveau monde sonore. L’introduction piano est sous sa baguette belle comme un nocturne profond, les sonneries Continuer la lecture de Sombres forêts