Signe des temps, les Sea Pictures que longtemps seules des contraltos puis des mezzos anglaises défendirent, auxquelles il faut ajouter Aafje Heynis – Roy Henderson lui avait montré le recueil d’Elgar – gagnent l’intérêt de leurs consœurs européennes.
Débarqué à Weimar, Bach immerge sa musique dans le brio de la cour du Duc de Saxe-Weimar et son clavecin dans le style français, cet esperanto de la musique de divertissement en Allemagne. Bach était chez lui, il copiait des musiques françaises Continuer la lecture de Mehr Licht→
La Covid ayant frappé, je reçois le Concert du Nouvel An 2020 un mois et demi avant le prochain. Je n’avais d’ailleurs pas couru après, les avis divergeants m’ayant refroidi. J’avais tort, ceux qui avaient fait un peu vite un procès en légitimité à Andris Nelsons aussi. Continuer la lecture de Jamais trop tard→
Le son reclus de l’Aria pourra dérouter, qu’est-il donc arrivé à ce Yamaha CFX choisi expressément pour ses Goldberg par Pavel Kolesnikov ? Je m’inquiète puis je rage, au point d’ailleurs que je laisse de côté le disque. Mais deux paires d’oreilles plus persévérantes Continuer la lecture de Dansées→
Ce n’est presque rien et c’est tant. Un jeune homme de vingt-quatre ans, né à Caracas mais plus Parisien que tous les Parisiens, et sachant capturer de sa plume versatile l’esprit français de son temps – entre Fauré et Ravel – se cherche un sujet d’opéra. MassenetContinuer la lecture de Le Paradis perdu→