Signe des temps, les Sea Pictures que longtemps seules des contraltos puis des mezzos anglaises défendirent, auxquelles il faut ajouter Aafje Heynis – Roy Henderson lui avait montré le recueil d’Elgar – gagnent l’intérêt de leurs consœurs européennes.
Lors de l’enregistrement de la Troisième Symphonie, Iván Fischer avait trouvé la perle rare pour dire la parabole de Nietzsche : la voix sensible de Gerhild Romberger l’illuminait de mots troubles Continuer la lecture de Hédonisme→
Elisabeth Kulman sait-elle qu’elle restitue au lied ce que les grandes chanteuses de l’entre deux-guerres, Lotte Lehmann en tête, lui avaient à jamais offert : la prééminence du mot Continuer la lecture de La diseuse→
Fassbaender et Schreier avaient raccroché les costumes de Dorabella et de Ferrando, Mathis avait trouvé son rôle avec Pamina, Berry les rejoignait pour cette séance de Lieder à plusieurs voix Continuer la lecture de A plusieurs voix→
Lentement, le hautboïste sinue la plainte qui ouvre Nun will die Sonn’ so hell aufgehn, Brigitte Fassbaender entre dans ce tempo de sépulcre, puis à un moment reprend la main, forçant l’orchestre à se remettre dans son chant, dans l’allant du texte Continuer la lecture de Langsam→