Irlandais, né avec le XXIe siècle, donc un gamin, mais déjà pointé du doigt par les jurys des concours de Dublin et de Cork, chez lui, et le voilà, quasi crânement qui ouvre son premier récital au disque par les Miroirs de Ravel !
C’est entendu, Antal Doráti a signé un des plus fabuleux ensembles Tchaïkovski au disque, suites symphoniques, poèmes symphoniques, ballets, symphonies, gravures d’origine majoritairement londoniennes (et marginalement réalisées à Minneapolis, Casse-noisetteContinuer la lecture de Du génie→
Un ballet ? Pas pour Gustavo Gimeno qui entend Daphnis et Chloé comme le chef-d’œuvre d’orchestre de Ravel, et le dirige plutôt sombre, mettant le drame et même l’exultation de la danse générale finale dans des teintes somptueusement profondes Continuer la lecture de La symphonie de Daphnis→
Les Miroirs sont une de mes obsessions, c’est avec eux que Fanny Azzuro ouvre son disque regroupant trois opus « de » l’année 1905. Les Noctuelles, partition fascinante dont la graphie est si saisissante car on y voit exactement ce que l’on y entend Continuer la lecture de 1905→
À l’automne dernier, un disque partagé entre Ravel et Debussy m’avait étreint. Gaspard de la nuit, le Premier Livre de Préludes et L’Isle joyeuse par un jeune pianiste russe de haut lignage, Arseny Tarasevich-Nikolaev, rien moins que le petit fils Continuer la lecture de Moscou-Paris→