Jeunesse

Hasse, comme tout bon jeune compositeur allemand, fit le voyage d’Italie, et le poussa jusqu’à Naples où l’attendaient deux rencontres décisives, Alessandro Scarlatti et Porpora, qui le feront ce qu’il rêvait d’être, un maître dans le domaine de l’opéra.

Farinelli ne tardera pas à s’intéresser Continuer la lecture de Jeunesse

Alerte Antal

Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.

Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal

Altos d’Albion

L’alto était devenu cet instrument d’orchestre, méprisé des compositeurs, qui n’avaient plus écrit pour lui d’ouvrages concertants majeurs depuis la Symphonie concertante de Mozart, oubliée elle-même, pire !, d’opus d’importance Continuer la lecture de Altos d’Albion

Retrouvé ?

On oublie trop que l’histoire de l’opéra fut d’abord l’histoire des livrets. La destinée de celui écrit par Domenico Lali pour Vivaldi, cet Argippo à l’intrigue mogol que Vienne vit en 1730 un peu avant Prague, vous sont contées par Reinhard Strohm dans l’excellente note de présentation de l’album. Continuer la lecture de Retrouvé ?

Fauré renouvelé

La houle précipitée qu’emporte le clavier agile de Dirk Mommertz signe cette version océanique des deux Quatuors avec piano de Fauré. Le ton assombri du Deuxième Quatuor – les Berlinois choisissent de renverser la chronologie des opus – est saisissant autant par sa puissance que par son lyrisme Continuer la lecture de Fauré renouvelé