On n’enregistre quasiment jamais – Claudia Barainsky et Peter Ruzicka en avaient laissé une belle version disparue avec le catalogue Koch Schwann – Von ewigen Leben, le diptyque inspiré à un Franz Schreker parvenu au sommet de son art par la magistrale traduction des Leaves of Grass de Walt Whitman signée par Hans Reisinger. Continuer la lecture de De la vie éternelle
Noël
La magique guirlande de Carols que Benjamin Britten assembla au printemps 1942 sur le bateau qui le ramenait de New York en Angleterre aura connu bien des fortunes au disque Continuer la lecture de Noël
Père et fils
Le père de l’école de piano soviétique ? Né dans le monde d’hier, et dans le milieu pro-européen de la grande bourgeoisie moscovite peu douée pour la Révolution, Heinrich Neuhaus prolongea au contraire dans l’histoire du piano russe cet art élégant Continuer la lecture de Père et fils
Abécédaire Strauss
Trois pleins disques remplis à ras bord de Lieder de Richard Strauss chantés par ceux qui l’auront connu et qu’il accompagne parfois, c’est la somme prodigieuse où Ward Marston alterne des 78 tours célèbres (du moins pour les amateurs), comme la Cäcilie de Jussi Björling et des documents rares : le petit microsillon Eterna où Herbert Janssen accompagné par un orchestre et un chef dont on ne sait rien Continuer la lecture de Abécédaire Strauss
Sur les ailes du chant
Nicolai Gedda aura tout chanté, et tout avec le même art, exemple unique qui n’a pour alter ego que Dietrich Fischer-Dieskau. Comme lui, il fut un récitaliste impénitent Continuer la lecture de Sur les ailes du chant