Voici peu Alpha Classics, publiait les Diabelli implacables de Filippo Gorini, apprises auprès d’Alfred Brendel, elles m’avaient bluffé. Voici que sous la même étiquette paraît la proposition Continuer la lecture de Valse ivre
Trois beaux oiseaux de Paradis
Maurice Ravel composa durant l’hiver 1914-1915 un premier tombeau pour les Français tués à l’ennemi, un chœur a capella enchâssé au cœur d’un triptyque où trois solistes (soprano, ténor, baryton) content l’annonce de la mort d’un ami tombé au front Continuer la lecture de Trois beaux oiseaux de Paradis
Beauté
« The Bel Canto Violin » proclament les disques de cette série – en fait une intégrale de tout ce que le violoniste anglais aura enregistré pour Decca et L’Oiseau-Lyre. Comme c’est vrai !
Campoli – abandonnez vous aussi le prénom, les Londoniens ne l’appelaient affectueusement que par son patronyme – né à Rome en 1906 dans une famille de musiciens (sa mère Elvira donnait la réplique à Caruso, rien moins) Continuer la lecture de Beauté
Dies Irae
Aussi étrange que cela puisse paraître, Mariss Jansons n’avait jamais enregistré Les Cloches. C’est chose faite, on est évidement en concert, à la Herkulessaal, en janvier 2016.
Lecture plus minérale que poétique Continuer la lecture de Dies Irae
Bimbeloteries (mais pas que)
« Chopin », le pianiste réduit à la misère dans le film de John Baxter, The Common Touch, c’est lui ! Mark Hambourg, dont la famille avait fui le régime tsariste en 1889 pour s’établir en Angleterre, fut une des figures du tout Londres de la première moitié du XXe siècle Continuer la lecture de Bimbeloteries (mais pas que)