La voix de Leonie Rysanek n’était pas si immense de nature, mais si bien placée, haut dans le masque comme les scandinaves, qu’elle le devint.
Strauss fut son empirée, et d’abord L’Impératrice dont elle avait la vocalise de voix lactée et aussi les graves pour le mélodrame Continuer la lecture de Héroïne Strauss→
Quel contraste entre les touches tendres de l’aquarelliste Webern qui caresse de son pinceau la Schatz-Walzer et la débauche d’or dont Arnold Schönberg pare la Kaizer-Walzer, cette mise en regard dit assez qu’au sein même de cette doxa de la Seconde École de VienneContinuer la lecture de Quatrième de poche→
Tardivement, Sviatolav Richter s’immergea dans l’œuvre de Karol Szymanowski, se rappelant qu’Heinrich Neuhaus lui avait montré les partitions de celui qui était son cousin germain. Les cahiers des Métopes et de MasquesContinuer la lecture de Sexuel→
La Sonate « Fantaisie » de Schubert ? Tout un monde à demi effacé, un imaginaire sonore singulier, sonate des ombres dont le caractère fantasque transparaît même derrière l’anodin ländler qui lui sert de Menuet.
En 1933, Pancho Vladigerov composa une vaste ouverture où il enserra l’essence de la musique bulgare, La Terre, poème descriptif où il mêle les idiomes de la musique populaire balkanique et la présence des Dieux de l’ancienne GrèceContinuer la lecture de Chants de Thrace→