Maurice Ravel, l’entendant créer Ma mère l’Oye, fut touché au point de lui écrire. Trois années plus tard, il lui dédiera le merveilleux petit Prélude qui cache mal, sous son office de morceau de déchiffrage pour le Conservatoire, un soupir de tendresse où passe plus que de l’admiration. Continuer la lecture de La retrouvée
Lumière du Romantisme
Tout Mendelssohn ? Quasi. En tous cas, aucune d’œuvre d’importance ne fait défaut à la somme considérable que réunit Warner, sinon côté piano, et aucune somme Mendelssohn qu’un autre éditeur aurait assemblée ne pourrait s’y comparer en termes de pure qualité. Continuer la lecture de Lumière du Romantisme
Deux mondes
On aura trop longtemps situé la Symphonie d’Ernest Chausson dans le sillage de l’école franckiste et son illusion du principe cyclique, les œuvres, contrairement aux Symphonies d’Albéric Magnard Continuer la lecture de Deux mondes
L’autre Mariage
Michael Tippett se cherchait à l’opéra ; quelques ouvrages brefs portés par l’univers des folksongs, d’autres tout aussi courts à destination des têtes blondes, finalement ce sera encore un enfant qui servira d’objet à son premier coup de génie Continuer la lecture de L’autre Mariage
Pleine eau
Les extases panthéistes que les vers parnassiens d’Edmond Haraucourt auront inspirées au jeune Charles Koechlin sont un trésor oublié de la mélodie française, quel dommage que Sandrine Piau en laisse deux de côté Continuer la lecture de Pleine eau