Symphonie ou quatuor ? Les Berg ont fait leur révolution dans les trois Quatuors de Brahms, les jouant amples et burinés, y faisant entrer tout le son d’un orchestre (et la captation des ingénieurs de Teldec les y aidait). Continuer la lecture de Nuit et crépuscule
Archives par mot-clé : Johannes Brahms
Les Adieux à Vienne
Un cycle Beethoven parfait, où sa battue claire avait rencontré l’instrument idéal, un seul disque Schubert, un doublé Berlioz, au moment de quitter les Symphoniker, voici que Philippe Jordan ajoute en guise de cadeau d’adieux les Symphonies de Brahms.
Pas un gramme de brume, rien d’hanséatique Continuer la lecture de Les Adieux à Vienne
Le maître du temps
Sunwook Kim entre après l’orage en élargissant le temps, ou plutôt en le modelant. Il n’entre pas droit, où en pressant comme certains pour affirmer que le concerto est d’abord leur pré-carré Continuer la lecture de Le maître du temps
Bartók et pas seulement
Bartók évidemment, la grande anthologie des œuvres pour piano où pas un opus d’importance ne manque, reste ce phare, qui ancra dans les discothèques des mélomanes des années cinquante le nom d’Andor Földes, au point d’éclipser le reste de son héritage discographique. Continuer la lecture de Bartók et pas seulement
Immensité
Bruckner, toujours, et Beethoven aussi. Je désespérai qu’Herbert Blomstedt vînt enfin au cycle complet des Symphonies de Brahms, deux du moins avec le Gewandhaus avaient paru sous des étiquettes différentes (Quatrième pour Decca, Deuxième chez Querstand) Continuer la lecture de Immensité