Trois Sonates ? Rudolf Serkin ne l’entendait pas ainsi, qui au soir de sa vie, reprit l’habitude qu’il s’était fixé jeune homme ne pas jouer l’une sans l’autre et les deux sans la troisième.
Sunwook Kim Continuer la lecture de Les ultimes
Trois Sonates ? Rudolf Serkin ne l’entendait pas ainsi, qui au soir de sa vie, reprit l’habitude qu’il s’était fixé jeune homme ne pas jouer l’une sans l’autre et les deux sans la troisième.
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Le plus beethovénien des cinq ? C’est ce qu’affirmait Géza Anda qui le jouait plus que les quatre autres. Martin Helmchen, dès son entrée ténébreuse, n’est pas loin de retrouver l’ardeur épique que le Hongrois y mettait Continuer la lecture de Coda
Il fallait oser enregistrer, avant l’année Beethoven, tout un programme mêlant le plus anecdotique (mais faussement anecdotique, évidemment) et le plus sacré. Ainsi Yumeto Suenaga dévoile-t-il au long de deux disques ce focus singulier du génie beethovénien, l’éclat, au double sens de fragment et d’éblouissement. Continuer la lecture de Apologie du bref infini
90 ans : Paul Badura-Skoda décide de les passer en scène, le Musikverein offre au plus Viennois des pianistes sa Goldener Saal, et le voici avec son indispensable couvre-chef Continuer la lecture de Contre la mort
On ne le sait pas assez, mais au début de ce siècle, Andrea Lucchesini grava pour un label italien l’une des plus radicales intégrales des Sonates de Beethoven jamais enregistrée. Le coffret n’a jamais franchi les Alpes, fut vite épuisé, et semble ne pas vouloir être réédité. Continuer la lecture de Les mânes de Beethoven