Je découvrais Zelenka non par un de ses grands vaisseaux polyphoniques, mais par les Lamentationes Jeremiae Prohetae que René Jacobs divulguait dans un double album microsillon édité par la Schola Cantorum Basiliensis et Deutsche Harmonia Mundi.
Florian Uhlig conduit son intégrale Schumann comme personne avant lui. Chaque disque a son thème, ou du moins son angle de vue : cette fois il rapproche le Carnaval et les Davidsbundlertänze en les regroupant sous le militantisme artistique Continuer la lecture de Le piano de Schumann autrement→
Destin contrarié que celui du seul grand oratorio écrit par Arthur Bliss alors qu’il était « Master of the Queen’s Music » : The Beatitudes devait résonner sous les voûtes de la nouvelle Cathédrale de Coventry à l’occasion de son inauguration Continuer la lecture de Béatitudes→
Je me souviens encore d’une matinée Beethoven donnée par le Quatuor LaSalle pour Les Amis de la Musique de Chambre à Gaveau ! Ce son orchestral, cette plénitude du jeu, ce sens de la forme m’avaient cloué. Je me procurais Continuer la lecture de Quatuor de génie→
Conjonction des planètes discographiques, deux intégrales de Daphnis et Chloé m’arrivent le même jour. Impossible de ne pas suspendre illico toute autre écoute : Daphnis, dans l’enregistrement tardif de Pierre Monteux avec l’Orchestre Symphonique de Londres, est une de mes madeleines absolues Continuer la lecture de Daphnis en miroir→