Sapristi ! Y aurait-il plusieurs Gustav Holst ? Celui des Planètes semble en fait étranger aux autres incarnations de ce génie divers qui aura produit un savoureux ensemble d’opéras de poche Continuer la lecture de La Symphonie des collines
Du silence
Javier Perianes avait déjà effleuré les sortilèges debussystes dans un album subtilement composé où le compositeur de La Boîte à joujoux était mis en regard avec Frédéric Chopin.
Son piano d’onde(s), où jamais ne frappe un marteau Continuer la lecture de Du silence
Concerto dramatique
Je me souviens encore du saisissement ressenti à l’écoute de l’entrée du Concerto pour violoncelle de Gerald Finzi : j’avais dix-sept ans et rapporté de Londres un microsillon qui m’avait intrigué : Yo-Yo Ma, dirigé par Vernon Handley (Lyrita) Continuer la lecture de Concerto dramatique
Les adieux de Gounod
Ultime opéra de Gounod, monté avec faste à Garnier en 1881, l’invraisemblable Tribut de Zamora (les fameuses cent vierges que Cordoue doit payer à Ben Saïd, l’émissaire du Calife) aura été l’occasion d’un spectacle fastueux qui se souvenait Continuer la lecture de Les adieux de Gounod
Tropisme Mahler
C’était fatal, ce démiurge infernal à l’égo revendiqué ne pouvait que céder à la tentation Mahler. Après tout, Teodor Currentzis est un génie à sa façon, et en quelque sorte ce disque le prouve.
Alors qu’il déchaînait des tempêtes dans Dido & Aeneas de Purcell Continuer la lecture de Tropisme Mahler