Si la Seconde École de Vienne a réinventé le quatuor à cordes, les enfants terribles de la génération suivante, menée par l’exemple impertinent de Paul Hindemith Continuer la lecture de Génération perdue
Rienzi fabuleux à Berlin
Un difficile challenge à relever, et une réussite totale. Voilà un des spectacles les plus intelligents qui nous ait été donné de voir depuis longtemps (au niveau des Troyens au Châtelet, ou Les Noces de Figaro à Covent Garden, il y a plus de quinze ans tout de même). Continuer la lecture de Rienzi fabuleux à Berlin
Le Roi Karl
Il venait d’un autre monde, celui d’Abendroth, de Furtwängler, de Clemens Krauss, il aurait dû se vouer à Bruckner, à Brahms, à Richard Strauss, mais non, tout son être chenu mais pourtant élégant abhorrait le Romantisme. Rigueur ? Clarté. Comme ses beaux yeux le disaient assez Continuer la lecture de Le Roi Karl
Brahms chante
Jerzy Semkow aura réussi sa vie à demeurer en quelque sorte à l’écart des circuits. Jeune homme grandi dans une Pologne détruite, asservie par les Soviets, il se rendra chez l’ennemi pour y forger son art. Boris Khaïkine Continuer la lecture de Brahms chante
La Reine de Castille
Arrivé à Hambourg, Haendel, tout juste vingt ans, écrit son premier opéra, où se mêlent comme le veut l’usage du temps langue allemande et airs parfois en italien, où s’avoue son admiration des ouvrages lyriques de Reinhard Keiser qui règne alors sur la scène hanséatique Continuer la lecture de La Reine de Castille