Chopin ? Scriabine ? Chopin assurément. Rachmaninov venait juste de boucler son Opus 22, ses Variations sur un thème de Chopin, lorsqu’il s’attela au premier cahier des Préludes.
En 1978, Maxime Chostakovitch créa la 5e Symphonie que Boris Tichtchenko avait achevée deux années plus tôt : un requiem en cinq stations – Prélude, Dédicace, Sonate, Interlude, Rondo – tombeau quasiment abstrait dès son premier mouvement Continuer la lecture de Requiem pour Chostakovitch→
Un des géants du piano de l’Entre-deux-guerres, rien moins. Frederic Lamond, né dans une famille pauvre de Glasgow, enfant prodige, aussi doué pour le piano que pour la direction d’orchestre, partit à quatorze ans en Allemagne dans l’espoir d’étudier avec Robert Schumann, peine perdue. Mais il obtiendra quelques cours avec ClaraContinuer la lecture de Le piano de l’Ecossais→
Jorge Bolet au sommet de son art, capté idéalement sur de très beaux pianos par des ingénieurs du son saisissant toutes ses couleurs et son grand jeu polyphonique. Quel plaisir tout au long de ce troisième volume qui clôt la publication de ses enregistrements Continuer la lecture de Les inédits d’un génie→
Leonard Bernstein ne fréquenta le théâtre de Richard Wagner qu’épisodiquement : de New York, un premier acte de Walküre (1968, Farrell, King, Langdon), âpre et violent, mériterait d’être mieux édité, sinon les quelques scènes de Götterdämerung et déjà Tristan und Isolde.