Une curiosité mais pas seulement. Les Concerti grossi que Charles Avison composa en assemblant des Sonates de Scarlatti auront un peu souffert des décors enjoués, admirablement réalisés, que Neville Marriner et son Academy plaquèrent sur les douze opus Continuer la lecture de Clavecin d’orchestre
Le violon du Diable
Stravinsky et Ramuz en firent l’objet d’échanges entre Le Diable et Le Soldat dans leur histoire vaudoise, métaphore de l’âme. Mais le compositeur lui fera parfois jouer le rôle de L’Ange Continuer la lecture de Le violon du Diable
Portraits de Bach en jeune homme
À l’orée de son œuvre, Bach s’empara d’une forme codifiée pour y oser ses fantaisies, y enclore son imaginaire, œuvres d’atelier au sens noble du terme, où l’on peut voir l’artiste inventer sa syntaxe, son vocabulaire. Les pianistes y vinrent rarement Continuer la lecture de Portraits de Bach en jeune homme
Divine surprise
La belle idée !, essayer de rendre enfin justice à Bononcini, rival malheureux de Haendel à Londres, dont l’art ne manquait ni d’inspiration et moins encore de génie. Mais voilà Continuer la lecture de Divine surprise
Tristan
Lorsque je demandais à Georges Sébastian qui avait été le plus grand Tristan, il me répondit du tac au tac : « Burian, Karel Burian ». Il n’avait pas eu la chance de le diriger, contrairement à Melchior, Lorenz ou Suthaus, mais gamin, il l’avait vu en scène à l’Opéra de Budapest et gardait intact le souvenir de sa voix immense Continuer la lecture de Tristan