Voilà, il faudra ajouter à l’histoire du quatuor viennois cinq nouveaux opus laissés de côté par une certaine lecture historicisante qui n’aura voulu considérer personne dans ce pré-carré entre Brahms et Schoenberg. Mais Continuer la lecture de Ajouts viennois
A la gloire d’Hans
Claudio Abbado aimait à rappeler qu’Hans Swarowsky lui fut plus qu’un professeur. S’il avait choisi pour un de ses premiers concerts avec le Philharmonique de Vienne la Symphonie « Résurrection », il le devait à Swarowsky Continuer la lecture de A la gloire d’Hans
Beethoven-Elbe
La chance d’Herbert Blomstedt ? S’être vu proposé en 1975 la direction musicale de la Staatskapelle de Dresde, l’orchestre de Richard Strauss, de Fritz Busch, de Karl Böhm. Il fallait un certain cran pour accepter en cette période de guerre encore très froide Continuer la lecture de Beethoven-Elbe
Le Prince travesti
Massenet, depuis un certain temps, se cherchait un sujet de grande fantaisie. A Londres, alors qu’ils assistaient à la création du Cid, Henri Cain et son musicien s’accordèrent sur une Cendrillon, et très vite, pour couper court avec l’ombre rossinienne Continuer la lecture de Le Prince travesti
Bach parle
Dieu sait si j’aime Francesco Corti, ce qui rend encore plus insensé le fait que j’ai pu laisser passer ce qui semble être le premier volume d’une intégrale des Concertos de clavier de Bach. Heureusement, Gaëtan Naulleau, sachant mon tropisme, me les aura signalés. Continuer la lecture de Bach parle