Son cancer s’était déclaré, faisant fondre ses muscles, l’épuisant, mais lorsqu’une ultime rémission parue, Tatiana Chebanova n’eut de cesse de revenir à Chopin.
L’Institut Frédéric Chopin de Varsovie avait acquis un magnifique Erard daté de 1849 sur lequel il allait faire enregistrer une intégrale à divers pianistes. Dès 2009Continuer la lecture de Adieux à Chopin→
Cherchant d’autres œuvres à assembler avec Nuits magiques, le triptyque impressionniste écrit pour soprano et orchestre par Bohuslav Martinů à la fin de la Grande Guerre sur des poèmes tirés du recueil sinisant d’Hans Bethge où MahlerContinuer la lecture de Orients→
Il faut le souligner : le livret de Casimir Delavigne, fulgurant par sa simplicité et la précipitation de son action, sa réduction à un quatuor de personnages principaux, est un quasi chef-d’œuvre. Neala, fille d’un brahmane, aime le guerrier Idamore, bien que celui-ci Continuer la lecture de Amour à mort→
L’instrumentarium du XVIIIe siècle ne manquait pas d’invention mais savait aussi faire perdurer les instruments des siècles précédents. Les premiers claviorganums apparaissent au XVe siècle, combinaison en un seul meuble d’un orgue positif et d’un clavier à cordes pincées. Les Anglais en étaient toqués Continuer la lecture de Hybride→
« Tout un monde lointain, c’est de l’opium », m’exclamais-je en parlant à un ami au sortir du Victoria Hall dans la froidure d’une fin d’hiver genevois. On était le 6 mars 1991, François Guye venait de perdre son chant Continuer la lecture de Opium→