Les Amours de Jupiter

Neeme Järvi dévore les répertoires, et même la musique française, où il aura abordé d’abord Roussel lors de son temps de Detroit. Sa curiosité insatiable l’a amené à feuilleter le catalogue de Jacques Ibert, un premier disque assez fabuleux avec L’Orchestre de la Suisse Romande cherchait dans le rare : la Suite Symphonique « Paris », la Bacchanale, l’Hommage à Mozart, Féérique, l’Ouverture de fête, le Divertissement accompagnaient les célèbres Escales, disque essentiel. Continuer la lecture de Les Amours de Jupiter

Ferveur

Pour Hans Rosbaud, ce parangon de la musique de son temps dont le style de direction d’orchestre si clair influença Pierre Boulez, le grand répertoire était un devoir : à la tête de son orchestre de la Sudwestfunk il se devait de présenter au public Beethoven, Brahms, Schubert, Mozart, Haydn, Bruckner même, en les mâtinant de Berg et de Schönberg. Continuer la lecture de Ferveur