Steven Osborne ne sera pas le premier à réunir sur une seule galette – privilège accordée par la durée augmentée du compact disc – les trois Sonates que Prokofiev écrivit entre 1939 et 1944. Kun Woo Paik, le premier, les aura réunies.
Rendant hommage à Samson François en publiant l’intégralité de ses enregistrements, EMI crût bon d’y ajouter quelques prises en concert. L’affiche était alléchante : le Troisième Concerto de BartókContinuer la lecture de Le Concerto de Samson→
Outre qu’elles soient belles comme des Modigliani, Maria et Nathalia Milstein ont un autre charme peut-être plus décisif encore : elles s’adonnent à leur tropisme Ravel.
Qui pourrait contester ce fait établi : János Starker s’était, croyais-je pour toujours, approprié la Sonate pour violoncelle seul de Zoltán Kodály. Beaucoup, et les plus grands violoncellistes d’abord Continuer la lecture de Ivresse→
Il ne faut pas craindre l’ombre de Mstival Rostropovitch pour se lancer dans tout un disque Prokofiev. Bruno Philippe a du y songer, mais la Sinfonia Concertante a en quelque sorte échappé à son destinataire, János Starker se l’est attribuée très tôt Continuer la lecture de Tropisme russe→