L’œuvre la plus secrète de Schumann, le journal intime de son âme. Qui y pénètre risque beaucoup et d’abord d’avouer son art inférieur à cette confidence qui ne supporte pas l’affectation.
Un premier album Brahms, d’un élan fantastique, d’une maîtrise pianistique impressionnante avait signé en fanfare les débuts discographiques de Gabriele CarcanoContinuer la lecture de D’un Schumann l’autre→
La Sérénade de Don Giovanni par Backhaus, vous connaissez ? Sa propre transcription, fabuleuse, ornementée avec un chic fou, et jouée avec un tel esprit ! C’est l’autre visage de cet apôtre de Beethoven qui jeune homme fut fêté Continuer la lecture de L’autre Backhaus→
Natalia Ehwald a de la suite dans les idées, elle remet face à face Schubert et Schumann, comme elle l’avait fait en son premier album qui contrastait la Sonate D. 894 et les Kreisleriana Op. 16. Ce doublé fascinant s’éclaire encore ici par la grâce singulière du jeu de cette pianiste inspirée. Continuer la lecture de Eusebius→
Le 3 novembre 1936, Rudolf Serkin gravait pour His Master’s Voice dans le Studio 1 d’Abbey Road les onze faces d’une Appassionata qui aura posé un modèle pour toutes celles à venir. L’élan des phrasés Continuer la lecture de Jeune Serkin→