Archives par mot-clé : Philips

Jean Martinon (III) : Voyage extatique en terres rousselliennes

Troisième épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon

THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (III) :
VOYAGE EXTATIQUE EN TERRES ROUSSELLIENNES

La musique française, dont Martinon était déjà dans les années 1950 un interprète reconnu et aguerri, tient également une place de choix dans cette rétrospective Philips. Les premiers enregistrements Roussel (9 au 11 février 1953 pour la Suite du « Festin de l’Araignée », 4 et 5 octobre 1954 pour « Bacchus et Ariane ») étonneront les admirateurs fervents des sessions stéréophoniques publiées chez Erato. Continuer la lecture de Jean Martinon (III) : Voyage extatique en terres rousselliennes

Jean Martinon (II) : Premiers Prokofiev électriques

Deuxième épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon

THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (II) :
PREMIERS PROKOFIEV ELECTRIQUES

Amoureux de musique russe, vibrant naturellement aux sons de l’univers de Prokofiev, qu’il ne cessera de défendre durant toute sa carrière – cette passion connaîtra son point culminant avec l’enregistrement intégral des Symphonies pour VOX (1969-1971, Vol 1, Vol. 2) –, Martinon Continuer la lecture de Jean Martinon (II) : Premiers Prokofiev électriques

Jean Martinon (I) : Mozart grandiose à Paris, en 1956

Premier épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon

THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (I) :
MOZART GRANDIOSE A PARIS, EN 1956

La carrière de Jean Martinon dans les studios commença après la Seconde Guerre Mondiale, avec l’Orchestre Philharmonique de Londres. Il enregistrait en 1947, dans le légendaire Kingsway Hall, le Concerto No. 20 de Mozart (avec Monique Haas, les 13-14 janvier), Le Tombeau de Couperin de Ravel (le 13 mai) , l’air d’adieu de l’opéra La Pucelle d’orléans de Tchaïkovski (avec Eugenia Zareska, le 14 mai) puis quelques mois plus tard, le 15 décembre 1948, la Suite Pastorale de Chabrier. Continuer la lecture de Jean Martinon (I) : Mozart grandiose à Paris, en 1956

Une Troisième de Mahler si vivante, par Martinon

Il ne faut jamais se fier au répertoire enregistré d’un artiste. Au XXe siècle, rares sont les chefs d’orchestre qui ont enregistré des oeuvres selon leurs volontés. Karajan, Ansermet sans doute. Ces deux artistes des années 50 à 80, faisaient à peu près ce qu’ils voulaient. Le public les suivait. A eux deux, ils ont vendu un nombre impressionnant de microsillons. Continuer la lecture de Une Troisième de Mahler si vivante, par Martinon