Hugues Mousseau soulignait voici peu le succès de Daniel Harding remplaçant au pied levé Kirill Petrenko à la tête des Berliner Philharmoniker dans la 6e Symphonie de Gustav Mahler.
Herbert von Karajan fut l’un des rares chefs de culture germanique à défendre Pelléas dès ses années de jeunesse : un légendaire enregistrement pour la RAI de Rome en 1954, avec Elizabeth Schwarzkopf qui y créait un personnage singulièrement différent de celui établi par Mary Garden et le Pelléas solaire Continuer la lecture de Obsession Pelléas→
En 2000, la Deutsche Grammophon avait consacré lors de son Édition Celibidache un volume de quatre CD illustrant la collaboration du chef roumain avec l’Orchestre Symphonique de la Radio Suédoise. Collection de merveilles à vrai dire Continuer la lecture de Beethoven suédois→
À la mémoire de Nicolas Baron, le meilleur d’entre nous
Deutsche Grammophon se retourne avec nostalgie vers ses trésors du passé. Signe des temps ? On aura beau jeu de railler son énième – et d’ailleurs très partielle – édition Karajan alors qu’EMI/Warner republie l’intégralité des enregistrements consentis par le chef autrichien à Walter Legge et à ses successeurs – on y reviendra d’ailleurs. Mais le label jaune propose avec Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer – Vol. 2 : Retour en Karajanie→
Dès les premières mesures du Printemps qui ouvre le nouvel enregistrement des Berliner Philharmoniker et de Sir Simon Rattle, cet orchestre qui articule, ces phrasés qui parlent, ces équilibres où paraissent des paysages fugitifs nous rappellent que l’univers symphonique de Schumann se voulut toujours différent, non pas Continuer la lecture de Schumann revisité→