En ouvrant avec les pirouettes de la Sonate K. 377 leur nouveau volume de l’intégrale des Sonates pour violon et piano (à moins que ce ne soit l’inverse) de Mozart, Cédric Tiberghien et Alina Ibragimova nous emmènent dans la part enchantée de ce jardin de musique Continuer la lecture de Allégresse
Pour rire
Revenant à Glyndebourne, Le Barbier de Séville s’y trouve habillé de neuf (et relativement en moderne) par Annabel Arden qui le réduit à un spectacle pour rire.
Cela se regarde le sourire aux lèvres Continuer la lecture de Pour rire
Les Muses
Furtwängler aimait le timbre chaleureux de son violon, la distinction de ses phrasés, l’élévation naturelle de son jeu, Edwin Fischer, pour deux Sonates de Brahms inoubliables, avait accordé son piano tonnant à la lyrique effusive de celle qui fut Continuer la lecture de Les Muses
Madelon
Le cycle, absolument allemand de thème, d’esprit, est périlleux en diable, Brahms s’y étant risqué cette fois – ce sera la seule – à marcher dans les traces de Schubert, sans en retrouver le génie. Fischer-Dieskau sauva cet opus de ballades un peu univoque en mettant plus l’accent sur les mots de Ludwig Tieck Continuer la lecture de Madelon
Le piano pense
L’art de John Browning a toujours souffert d’un malentendu. Parce qu’il avait les meilleurs doigts du monde, un jeu parfait, une carrure d’athlète, parce que, ne jouant que le Troisième Concerto de Prokofiev, il apprit en un temps record pour le disque Continuer la lecture de Le piano pense