Pour rire

Revenant à Glyndebourne, Le Barbier de Séville s’y trouve habillé de neuf (et relativement en moderne) par Annabel Arden qui le réduit à un spectacle pour rire.

Cela se regarde le sourire aux lèvres Continuer la lecture de Pour rire

Les Muses

Furtwängler aimait le timbre chaleureux de son violon, la distinction de ses phrasés, l’élévation naturelle de son jeu, Edwin Fischer, pour deux Sonates de Brahms inoubliables, avait accordé son piano tonnant à la lyrique effusive de celle qui fut Continuer la lecture de Les Muses

Madelon

Le cycle, absolument allemand de thème, d’esprit, est périlleux en diable, Brahms s’y étant risqué cette fois – ce sera la seule – à marcher dans les traces de Schubert, sans en retrouver le génie. Fischer-Dieskau sauva cet opus de ballades un peu univoque en mettant plus l’accent sur les mots de Ludwig Tieck Continuer la lecture de Madelon