Doublé magique

Kubelík, entrant chez Deutsche Grammophon, eut immédiatement le projet d’enregistrer un cycle Janáček : il s’était employé à l’Opéra de Munich à présenter en allemand (autant par son souci de rendre les ouvrages plus accessibles aux spectateurs de l’Opéra d’État de Bavière, qu’admiratif des subtiles traductions de Max Brod) Continuer la lecture de Doublé magique

Conversion

Vittorio Negri en savait les beautés, et l’enregistra pour Philips, ayant trouvé sa Judith, Birgit Finnilä, mais il retenait la verve dramatique de l’ouvrage dans le carcan de l’oratorio, ce à quoi en restèrent ses successeurs alors qu’à la RAI Continuer la lecture de Conversion

Le Diable et l’Ange

Les timbres. Voyez-vous, les timbres font un pianiste. Oui, il lui faut des doigts, du panache, de la musicalité, mais sans les couleurs le piano reste en noir et blanc. Les timbres ne sont pas donnés à tout le monde, mais Nathanaël Gouin en est le jeune maître. Continuer la lecture de Le Diable et l’Ange