Konstantin Lifschitz et Bach, l’association est légendaire depuis ses premières Goldberg, Orfeo lui aura offert de graver ce qu’il voulait des opus de son compositeur favori Continuer la lecture de Au cordeau
Bach chante
Dès le premier Prélude, c’est un arc-en-ciel. Le tempo est preste, il ne s’agit pas de pontifier, de s’agenouiller devant le Grand œuvre. La Fugue se déploie, mesurée, élégante, au premier temps Continuer la lecture de Bach chante
Haïku ou quatrain ?
Beethoven voyait son piano comme lui-même, tout humeurs, tout à l’instant, au point même de mettre en miettes la forme sonate. Autant dire qu’il était absolument libre dans les variations Continuer la lecture de Haïku ou quatrain ?
Elégance
Longtemps, et nonobstant la gravure chorégraphique d’Ernest Ansermet, le Daphnis et Chloé de Pierre Monteux et de son cher Orchestre Symphonique de Londres, règna sur la discographie Continuer la lecture de Elégance
Fulgurances
Depuis un certain Chevalier ladre à Glyndebourne, les affinités électives de Vladimir Jurowski avec l’orchestre de Rachmaninov se sont imposées comme autant d’évidences Continuer la lecture de Fulgurances