Motets d’opéras

Rameau n’a pas pu se réfréner : l’air de soprano qui ouvre le sublime Quam dilecta tabernacula pourrait être chanté par Clarine, les longues phrases ornementées de l’Et enim passer où le ténor volute avec la flûte sont absolument opératiques Continuer la lecture de Motets d’opéras

Fratrie

L’élan des phrases, le chant commun, l’exacte même pesée d’archet entre le violoniste et l’altiste, et ce jeu solaire jusque dans la mélancolie, quelle merveille d’émotion l’Andante de la Sinfonia concertante par les frères Pochekin ! Continuer la lecture de Fratrie