Pepys notait dans son journal avoir entendu un surprenant motet à cinq voix écrit par un des « boys » du Capitaine Cook, un « joli garçon » dont la musique enchantait Charles II.
Aubaine, Hänssler Classic réunit en un coffret peu onéreux l’anthologie des œuvres de clavier de Bach – à l’exclusion de celles pour orgue et de L’Art de la fugue – que le label aura assemblée au tournant du XXe siècle.
Pénultième volume de l’intégrale la plus complète des œuvres pour violon et piano (et inversement) de Mozart jamais enregistrée à ce jour, le cinquième volume de cet ensemble parfait où se répondent le violon aventureux d’Alina Ibragimova et le piano–orchestre de Cédric Tiberghien présente Continuer la lecture de L’archet du clavier→
Les petits Concerts que François Couperin joua du clavecin en entraînant quelques musiciens pour chasser les ombres qui assiégeaient la vieillesse de Louis XIV – on est en 1714 et en 1715 – sont de pures merveilles qui font regretter Continuer la lecture de Soleil couchant du Grand Siècle→
La postérité d’Ivan Moravec serait-elle mieux assurée par l’exhumation de ses bandes de concerts que par ses enregistrements pour le disque ? Au studio, son art classique se mesurait en quelque sorte, s’obligeant à une perfection admirable, mais où l’artiste retranchait une part de sa spontanéité Continuer la lecture de Ravel rêve→