Tous les articles par Jean-Charles Hoffelé

Lyrico

Désarmant Mieczysaw Weinberg : il ouvre son Concertino pour violon et cordes avec un cantabile du soliste, phrase infinie qui module tendrement dans une douceur soyeuse, pas assez pourtant pour que le rêve ne soit pas triste. Gidon Kremer avait en quelque sorte révélé l’œuvre au disque, l’affirmant un rien trop. Continuer la lecture de Lyrico

Sonates sans Rosaire

Biber, Schmelzer, Muffat, ce large chant du violon qui ouvre la Sonate en ré majeur ? Non, Romanus Weichlein auquel Olivier Fortin et ses amis de l’Ensemble Masques consacrent un plein disque, puisant dans son Opus 1, L’Encaenia Musices, paysagé de quelques Capriccio, Chaconne ou Passcaglia, signés Kuhnau, Pachelbel, Kerll, Böhm ou Muffat. Continuer la lecture de Sonates sans Rosaire