La Sérénade de Don Giovanni par Backhaus, vous connaissez ? Sa propre transcription, fabuleuse, ornementée avec un chic fou, et jouée avec un tel esprit ! C’est l’autre visage de cet apôtre de Beethoven qui jeune homme fut fêté Continuer la lecture de L’autre Backhaus
Cygne noir
Une fastueuse Belle au bois dormant avait assez dit le talent narratif et l’art des atmosphères dont Vladimir Jurowski, revenu dans sa Moscou natale Continuer la lecture de Cygne noir
Nikolaï et Igor
On l’oublie, Nikolaï Malko, pur produit de l’école de direction impériale qui avait parfait son art auprès de Felix Mottl à Munich, était d’abord un moderniste, créateur de la Première Symphonie de Chostakovitch et soutient actif du jeune Stravinski. Continuer la lecture de Nikolaï et Igor
De la lumière à l’ombre
Le charmant et mélancolique Concerto pour piano, si décrié parmi la production de Poulenc, avec ses teintes pastorales et son Rondo à la française impertinent, n’avait pas vraiment eu de chance Continuer la lecture de De la lumière à l’ombre
Le chant de Beethoven
Une part toujours méconnue du génie de Beethoven se sera exprimée par le lied : An die ferne Geliebte est quasiment un journal intime, Adélaïde une déclaration Continuer la lecture de Le chant de Beethoven