Les concours ont parfois du bon. En final du Reine Elisabeth 1967 – il n’obtint que le 3e Prix -, Gidon Kremer dut choisir son concerto avec orchestre. Par quel caprice, ou quelle intuition, se décida-t-il pour l’opus d’Elgar qu’en Russie Continuer la lecture de Le jeune homme et Elgar
Chemins célestes
D’où coule chez Mahler cette veine alerte, impertinente, qui ne sait pourtant pas renoncer aux charmes ? De Haydn, semble dire Vladimir Jurowski, qui soigne son orchestre londonien comme une formation de chambre : cette flûte qui a un ton d’argent Continuer la lecture de Chemins célestes
Chopin autrement ?
La jolie sonorité naturelle et naturellement mesurée que Pavel Kolesnikov tire de son piano le destinait à Chopin d’évidence Continuer la lecture de Chopin autrement ?
Le plaisir
Jadis Jörg Demus avait signé avec le bien nommé Schubert Quartet pour Deutsche Grammophon une Truite indémodable (mais à ma connaissance jamais reparue en CD) à laquelle ne manquait que les saveurs des timbres de ses chers Hammerflügel Continuer la lecture de Le plaisir
Bach de Scott
Scarlatti, Couperin, Rameau auront suffi à assurer la gloire posthume de Scott Ross dont on peine à croire qu’il a disparu voici déjà trente ans, tant ses disques nous restent vivaces Continuer la lecture de Bach de Scott