L’Archet foudre

« André Navarra, le seul violoncelliste qui ne m’ait jamais demandé de faire jour mon orchestre plus doucement », s’exclamait un jour Georges Sébastian lorsqu’il évoquait son interprétation du Concerto de Lalo. Le son si précis, si dense Continuer la lecture de L’Archet foudre