Franziska Pietsch et Detlev Eisinger m’avaient bluffé dans les trois Sonates de Grieg, allaient-ils renouveler leur incroyable réussite dans les deux opus si dissemblables que Prokofiev réserva à la même formation ?
Gil Shaham tente une aventure un rien périlleuse : revenir, en l’élargissant parfois, à ce répertoire d’élection où il triompha d’abord sous étiquette Deutsche Grammophon : l’abondante littérature que le violon inspira aux compositeurs durant l’entre-deux guerres. Continuer la lecture de Thirties→
À 21 ans, avec sa gueule de gamin, Benjamin Beilman avait signé sous étiquette Analekta une électrisante et poétique lecture des deux Sonates de Prokofiev y ajoutant la Sonate pour violon seul. Une claque ! Cet archet diseur, d’une variété de touches et de traits incroyable Continuer la lecture de Violon caméléon→
Lors d’une Tribune des critiques de disques consacré au Gaspard de la Nuit de Maurice Ravel, Beatrice Rana nous avait surpris par la profondeur de son clavier et la puissance de ses climats. La voilà couplant dans son premier album pour son nouvel éditeur Continuer la lecture de Tout d’une grande→
Une boîte rouge ? Martha, qui d’autre ? Deutsche Grammophon a eu la belle idée de rassembler tous les enregistrements de Martha Argerich pour l’étiquette jaune, mais aussi les cinq albums parus chez Philips, remis dans leurs pochettes d’origines : 47 CDs. Continuer la lecture de C’est la fête→