Une boîte rouge ? Martha, qui d’autre ? Deutsche Grammophon a eu la belle idée de rassembler tous les enregistrements de Martha Argerich pour l’étiquette jaune, mais aussi les cinq albums parus chez Philips, remis dans leurs pochettes d’origines : 47 CDs. Continuer la lecture de C’est la fête
Archives par mot-clé : Deutsche Grammophon
Nuit noire
Auteur de deux disques Rameau au discours aussi singulier qu’assumé, le premier album de Natacha Kudritskaya pour Deutsche Grammophon serait-il un coup de maître ?
Thème : la nuit, mais la nuit noire : même en caressant l’innocent Clair de lune de la Suite bergamasque, la pianiste Continuer la lecture de Nuit noire
Souvenirs alpestres
Deutsche Grammophon a collationné en un double album le concert du 27 juillet 2007 donné à Verbier par Martha Argerich : le Festival lui avait laissé carte blanche. L’occasion était trop belle de la retrouver dans des Scènes d’enfants alertes, pleines d’esprit, croquées comme une suite de tableaux vivants d’une fraîcheur Continuer la lecture de Souvenirs alpestres
Triplé Chosta
L’Exécution de Stenka Razine serait-il le chef-d’œuvre méconnu de son auteur ? Assurément. Cette scène narrative a connu peu de versions au disque, Vitaly Gromadski et Kirill Kondrachine en ayant signé d’emblée une interprétation définitive à laquelle Continuer la lecture de Triplé Chosta
De l’art de bien rééditer, vol. 21 : Jean Martinon à l’O.R.T.F
Les mariages de labels ont parfois du bon. Dans le cas de la postérité discographique de Jean Martinon, cela tient quasiment du miracle. Après les sommes Universal réunies par Cyrus Mejer-Homji en Australie pour les legs Philips et Deutsche Grammophon, et la saga Chicago republiée exemplairement pas Sony, voici que EMI l’éditeur de ses dernières années – une part des enregistrements regroupés ici fut réalisé alors que Martinon souffrait d’un cancer des os, impossible de le deviner à l’écoute de gravures aussi rayonnantes – regroupe sous son nouveau sigle Warner ses célébrissimes gravures en les augmentant du legs Erato, bien plus oublié sinon des discophiles japonais. Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, vol. 21 : Jean Martinon à l’O.R.T.F