Quoi de mieux pour boucler ce mois de mai que d’assister à une performance classico – électro !
Samedi 31 mai, le pianiste cubain Gabriel Urgell Reyes offrait un concert gratuit d’une trentaine de minutes à l’Esplanade de La Défense. Si le mélange entre musique classique et musique électronique peut surprendre, il fût réussi ! Continuer la lecture de Gabriel Urgell Reyes à la Défense : entre corps et âme
« Impeccable in his pianism and unfailing in his idiomatic grasp (Gramophone)
There are many (young) Japanese virtuosi, but pianist Hiroaki Takenouchi is a name to look out for.
Keep an eye (and ear) on him at the coming Classical Next Showcase!
Continuer la lecture de Hiroaki Takenouchi, Haydn – Next Performance at Classical Next, Vienna
Photo à la une: Sir John Barbirolli à la tête de son orchestre, le Hallé Orchestra, en 1947, sept ans après la création de la Sinfonia da Requiem de Britten (c) DR
Dans le parcours d’une vie de mélomane passionné, discophile, il y a des découvertes foudroyantes. Les amours musicales naissent de hasards, de rencontres, ou dans la solitude. Encore peu documenté sur l’œuvre de Britten, et sur sa carrière, et de plus en plus attiré par la musique orchestrale anglaise (Elgar, Vaughan Williams, Stanford), trop peu connue en France, je décidai il y a quelques semaines d’explorer la discographie d’une des oeuvres les plus extraordinaires du répertoire orchestral du XXe siècle, la Sinfonia da Requiem. Continuer la lecture de Sir John Barbirolli et la Sinfonia da Requiem de Britten
Attention, chef-d’œuvre ! Le second opéra d’Aarre Merikanto, composé entre 1920 et 1922 sur un livret d’Aino Ackté sur la célèbre (en Finlande) nouvelle de Juhani Aho (1911), est certainement l’un des ouvrages lyriques les plus remarquables des années 1920. D’une grande fluidité dramatique, Continuer la lecture de A la découverte de l’opéra « Juha », de Merikanto
Dernier épisode d’une série en quatre parties sur les années Philips de Jean Martinon
THE PHILIPS YEARS, 1953-1956 (IV) :
FALLA OU LE JARDIN AUX ESSENCES INEDITES
C’est à la tête de l’Orchestre des Concerts Lamoureux, en 1955, que Jean Martinon clôturait son exploration officielle des œuvres de Manuel de Falla. Il n’y revint plus jamais par la suite en studio. Continuer la lecture de Jean Martinon (IV) : Falla ou le jardin aux essences inédites
