Richter et Chostakovitch lui-même ont marqué à jamais l’interprétation du Quintette, lectures fer et sang où le piano donnait le ton et le tactus respectivement au Quatuor Borodine et au Quatuor Beethoven.
Inachevé un des joyaux lyriques de Schubert ? Pourtant, cette Sakontala l’enthousiasma et il se mit au travail avec une certaine fièvre en octobre 1820. L’élan fut brisé au printemps de l’année suivante lorsque l’Opéra de Vienne lui demanda Continuer la lecture de Revenu des ombres→
Ses Variations Goldberg nous avaient tiré l’oreille. Beaucoup d’idées, une technique parfois incertaine, une volonté claire de répondre à Glenn Gould en copiant son toucher et même ses maniérismes. Intéressant, inabouti, frustrant. Tout comme Continuer la lecture de Le cas Pienaar→
Deux anthologies assez faramineuses, voilà ce que Lyrita propose en regroupant des concertos anglais – ou dans l’orbe britannique – du XXe siècle, et parmi les moins courus. Continuer la lecture de British concertos→
Johanna Martzy, une violoniste pour les violonistes ? Longtemps la poignée de ses albums microsillons ne fut disponible au CD que dans un joli coffret Toshiba Japon. C’est là que j’ai appris son art si intense, ses cantabile audacieux, son violon aux registres si marqués, et dans un microsillon DG où Ferenc FricsayContinuer la lecture de Archet de feu→