De l’art de bien rééditer, Vol. 18 : Seefried en jaune

Un malaise s’instilla lorsque je proposais de regrouper tous les enregistrements consentis par Irmgard Seefried à la Deutsche Grammophon en un fort coffret de la collection Original Masters – la soprano, passée 1960, ne se souciait plus du tout de ce qui ne la préoccupait d’ailleurs guère auparavant : la justesse. Avec cela, le timbre s’était asséché. Il fallait mieux oublier. Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 18 : Seefried en jaune

Schönberg again

Un tropisme schönbergien poursuit Markus Stenz : après des Gurre-Lieder hantés, voici qu’il immerge son Orchestre du Gürzenich de Cologne dans la nuit étouffante du Pelleas und Melisande où le compositeur du Pierrot Lunaire épuise la syntaxe post-romantique jusqu’à la faire imploser. Continuer la lecture de Schönberg again

Byrd à ses claviers

Jean-Luc Ho avait signé chez le même éditeur un disque mettant en regard Bach (Ouverture à la française) et Couperin (le Huitième Ordre dans le Second Livre des Pièces de clavecin) qui m’avait arrêté par l’autorité du propos et la subtilité de la réalisation.

Quel plaisir de le voir aujourd’hui Continuer la lecture de Byrd à ses claviers