D’emblée : le chef-d’œuvre de Rameau, outrageusement relu par Jonathan Kent, spectacle flashy et qui s’imagine provocateur, ne se regarde simplement pas, d’autant qu’Ivan A. Alexandre avait préalablement remis Hippolyte et Aricie dans les lumières, les costumes, les décors et la machinerie Continuer la lecture de A entendre
La Favorite enfin !
J’espérais depuis longtemps la renaissance de ce chef-d’œuvre oublié de Donizetti que vit paraitre la scène de l’Opéra de Paris le 2 décembre 1840. Quelques extraits en français dirigés par Ruhlmann en 1912, une intégrale Continuer la lecture de La Favorite enfin !
Début de l’aventure
Richter et Chostakovitch lui-même ont marqué à jamais l’interprétation du Quintette, lectures fer et sang où le piano donnait le ton et le tactus respectivement au Quatuor Borodine et au Quatuor Beethoven.
Marc-André Hamelin ne voit pas les choses ainsi Continuer la lecture de Début de l’aventure
Revenu des ombres
Inachevé un des joyaux lyriques de Schubert ? Pourtant, cette Sakontala l’enthousiasma et il se mit au travail avec une certaine fièvre en octobre 1820. L’élan fut brisé au printemps de l’année suivante lorsque l’Opéra de Vienne lui demanda Continuer la lecture de Revenu des ombres
Le cas Pienaar
Ses Variations Goldberg nous avaient tiré l’oreille. Beaucoup d’idées, une technique parfois incertaine, une volonté claire de répondre à Glenn Gould en copiant son toucher et même ses maniérismes. Intéressant, inabouti, frustrant. Tout comme Continuer la lecture de Le cas Pienaar