Franziska Pietsch et Detlev Eisinger m’avaient bluffé dans les trois Sonates de Grieg, allaient-ils renouveler leur incroyable réussite dans les deux opus si dissemblables que Prokofiev réserva à la même formation ?
Auryn. C’est l’amulette magique du roman de Michael Endre, L’Histoire sans vie, inspiratrice qui invite le héros à suivre les chemins complexes de son être. Joli nom pour un quatuor. Les AurynContinuer la lecture de À cinq voix→
Jouons au jeu du chef-d’œuvre. Quel sont les opus où Rachmaninov aura le mieux résumé son art pianistique ? Longtemps, j’ai penché pour les sombres Variations Corelli ou la Première Sonate, mais finalement, ce sont les deux cahiers Continuer la lecture de Tableaux nocturnes→
Il y a une triade sacrée du piano russe au début du siècle : Scriabine, Medtner, Rachmaninov. J’y ai toujours ajouté Sergei Bortkiewicz dont le clavier profus et les compositions savantes rejoignent Continuer la lecture de L’exilé→
Janvier 1982 : Kurt Sanderling grave pour Eterna la 5e Symphonie de Chostakovitch. Il avait bien connu le compositeur, assisté à nombre de premières de ses symphonies à Moscou sous la direction de Kirill Kondrachine mais surtout Continuer la lecture de La 5e du disciple→