« The Bel Canto Violin » proclament les disques de cette série – en fait une intégrale de tout ce que ce violoniste anglais aura enregistré pour Decca et L’Oiseau-Lyre. Comme c’est vrai ! Campoli – abandonnez vous aussi le prénom, les Londoniens ne l’appelaient affectueusement que par son patronyme – né à Rome en 1906 dans une famille de musiciens (sa mère Elvira donnait la réplique à Caruso, rien moins) Continuer la lecture de Le poète discret
Symphonies-Sérénades
L’effectif est peu ou prou celui en jeu lors des créations des œuvres, mais pour la philologie, on en restera là. Le regard, avant tout lyrique, que porte Yannick Nézet-Séguin sur le quatuor brahmsien Continuer la lecture de Symphonies-Sérénades
Le poète des mots
Soirée miraculeuse, et peu repérée dans l’héritage discographique de Peter Schreier. Salzbourg le connaissait alors (1979) comme un des mozartiens de la seconde équipe Böhm, celle qui avait succédé Continuer la lecture de Le poète des mots
Fantaisie
Lorsque Diapason demanda à André Tubeuf quelle œuvre de Schubert il choisirait pour le coffret des Indispensables, il répondit : « la Fantaisie », ajoutant illico, « celle pour violon et piano ». Par Adolf Busch et Rudolf Serkin, évidemment. Continuer la lecture de Fantaisie
Haïku
Florent Schmitt avait loué son Quatuor composé sous le regard attentif de Nadia Boulanger, qu’aurait-il pensé de ces Vingt-quatre Préludes écrits en 1945 par un adolescent de quinze ans qui n’avait pas encore quitté son archipel ? Continuer la lecture de Haïku