Le catalogue de Max Bruch, si divers, disparaît toujours derrière deux opus concertants, la Fantaisie écossaise et le Premier Concerto pour violon. Pourtant Continuer la lecture de L’autre Brahms
Chant de l’amer
Ce n’était probablement pas un caprice : Jonas Kaufmann s’était déjà essayé à la poétique mahlérienne. Ses Kindertotenlieder avaient pourtant posé plus de questions que délivré de réponses Continuer la lecture de Chant de l’amer
Les trios cachés
Je ne savais pas grand-chose d’Arenski avant de découvrir ses Trios avec piano dans un disque magnifique du Beaux-Arts Trio : le piano magique de Menahem Pressler s’y taillait quasiment deux concertos, péché véniel.
Les revoici, ces deux opus chéris Continuer la lecture de Les trios cachés
Le maître des Diabelli
Il fallait se souvenir qu’en février 1952, Paul Baumgartner gravait pour la Deutsche Grammophon sur un somptueux Steinway et dans l’acoustique porteuse de la Beethoven-Saal de Hanovre une version parfaite des Variations Diabelli, architecture impeccable Continuer la lecture de Le maître des Diabelli
Face aux chefs-d’œuvre
« Pianiste coréen, entièrement formé dan son pays natal ». Les hagiographes de Sunwook Kim y insistent, comme si ne pas avoir étudié – au contraire des artistes coréens des générations précédentes, à l’exemple Continuer la lecture de Face aux chefs-d’œuvre