Quelques symphonies avec son cher Orchestre Hallé (Nos. 1, 5, 7, 8, studio ou/et concert), quelques accompagnements de concertos (le 4e, surtout pour Josef Hofmann mais aussi pour Rubinstein), une ou deux ouvertures, et ce fut tout. Continuer la lecture de Sir John et l’Eroica
Je te voyais ailleurs
J’ai encore le souvenir si troublant des sortilèges de la mort de Mélisande comme les distillaient Bernard Haitink et l’Orchestre National de France au Théâtre des Champs-Elysées, immense version Continuer la lecture de Je te voyais ailleurs
Sonates de contes
Longtemps, je n’aurais connu de ce mystérieux ensemble que la Troisième Sonate. Son surnom « Épique » m’intriguait, David Oïstrakh et Alexander Goldenweiser la défendaient. Quelle œuvre, immense comme un paysage Continuer la lecture de Sonates de contes
Liederabend
Trois petits « récitals » composés pour la BBC et que le disque jusque-là ignorait. Il faut bien entendu goûter le timbre si particulier de Pears, grand ténor, de taille, de voix Continuer la lecture de Liederabend
Préludes dramatiques
« Moto rubato », Joaquín Achúcarro affirme dès le Prélude en ut que son retour à Chopin est celui d’un artiste d’une autre époque. Qui oserait jouer ainsi Continuer la lecture de Préludes dramatiques