Premier disque d’Andris Nelsons avec Leipzig, qui serait le début d’une intégrale Bruckner. Mais commencer ici par la Troisième Symphonie et la faire suivre par l’Ouverture de Tannhäuser, c’est explicitement penser d’abord Continuer la lecture de À la recherche de Wagner
Complete Trios (?)
Vous connaissiez de Brahms trois Trios avec piano, figurez-vous qu’il en existe un quatrième. Enfin peut-être. Le Gould Piano Trio emmené par Lucie Gould avec au clavier Benjamin Frith, brahmsien consommé Continuer la lecture de Complete Trios (?)
Alpha et Oméga
Alfred Brendel, l’entendant jouer les Variations Diabelli le prit sous son aile. Il n’avait rien à lui apprendre pour la technique, des doigts en or, un art de faire sonner le clavier profond et pourtant alerte où passe comme le souvenir de Dino Ciani Continuer la lecture de Alpha et Oméga
Londres romantique
Sa visite à Beethoven, qu’il a narrée avec un certain brio, est restée célèbre, comme le satisfecit de Wagner sur sa Dixième Symphonie, pourtant Cipriani Potter, figure majeure de la vie musicale londonienne de la première moitié du XIXe siècle, est un quasi oublié des dictionnaires musicaux, et le disque ne l’a que peu dévoilé, trois symphonies qui donnaient envie d’en savoir plus (vieux LP Unicorn-Kanchana), voilà tout ce que l’on pouvait entendre au disque. Continuer la lecture de Londres romantique
Le violoniste incertain
Un physique de jeune premier pour Hollywood, le plus beau son de violon de sa génération pour le continent américain, une musicalité certaine sinon absolument sensible, tout prédestinait Erick Friedman à devenir l’un des tout premiers virtuoses de la planète Continuer la lecture de Le violoniste incertain