C’est entendu : toute musique de Gerald Finzi est vocale, par essence même dans ses concertos où la clarinette est une mezzo, le violon un garçon soprano, et par nature dans ses impérissables cycles mélodiques.
Quelques disques chez Philips, une brassée de Chopin, un album Schumann (Humoreske, Carnaval), ce dernier jamais reparu en CDContinuer la lecture de Elégance→
Le style Ravel, qui ne veut pas que le métronome bouge, qui choisit le rectiligne et le fluide pour atteindre à un idéal classique, est celui que nous avons tous appris avec les disques de Marcelle Meyer ou de Robert CasadesusContinuer la lecture de Ravel rubato→
Foin des instruments anciens ! Après avoir été un des fers de lance du renouveau de l’interprétation du répertoire baroque sur un instrumentarium d’époque, Reinhard Goebel revendique haut Continuer la lecture de Baroque moderne→
Le Concerto pour violon de Dvořák choisit ses interprètes : il veut un archet ardent qui ne craint pas de danser mais surtout de « parler ». Eldbjørg Hemsing avoue dans le livret de ce qui est son second CD pour BIS son tropisme pour ce concerto, et ce depuis l’enfance, alors que son frère ne cessait de jouer un microsillon de l’œuvre au point que leur mère finit par cacher le disque. Continuer la lecture de Violon de Bohème→