À Prague, les Lobkowitz étaient toqués de musique, et l’un des plus sensibles musiciens de leur cercle fut un luthiste de premier ordre, le Comte de Losinthal (ou Jan Antonín Losy).
Glenn Gould l’osa le premier : détacher dans les cahiers de maturité et de grand âge que Brahms caressait ou rugissait du piano, ce qu’il nommait intermezzo et qui dans son esprit si féru de littérature claviéristique baroque, était comme un souvenir de Scarlatti, musique de reclus et d’autant plus fantaisiste Continuer la lecture de Les deux Mondes→
Les vignettes évocatrices que York Bowen tira de ses lectures des Contes d’Andersen ne sont pas ses opus pianistiques les plus courus, ils payent moins de bravos les virtuoses Continuer la lecture de Musiques de contes→
David Oistrakh, l’entendant gamin, le prit sous son aile. Jean Ter-Merguerian trouva en lui plus qu’un professeur, un second père : il lui donna sa majestueuse technique d’archet qui bluffa tous ses collègues et lui valut de remporter le Long-Thibaud en 1961Continuer la lecture de L’archet du Roi→
Kirill Petrenko a assez dit son peu d’enthousiasme pour le studio d’enregistrement, sa discographie modeste en atteste et pourtant un beau cycle Josef Suk pour CPO disait assez qu’il pouvait Continuer la lecture de Le nouveau maître→