Addiction

Une fois entendu l’Opus 10, impossible de ne pas succomber au clavier versicolore, au grand piano empli d’imaginaire sonores – musiques d’autres temps, échos de la nature, vertige des cloches se répondant d’une église l’autre – qui rend cette part de l’œuvre d’Enesco plus radicale encore que ne le sont ses symphonies Continuer la lecture de Addiction

La dernière séance

Dès les arpèges qui ouvrent la Fantaisie de Mozart, je vois Lillian Gish à son piano détruit par les Kiowas. La musique de l’œil, voici ce que célèbre dans cet album et au long d’un entretien de cinéphile, Jean-Marc Luisada. Continuer la lecture de La dernière séance