William Steinberg et Gustav Mahler. Un Chant de la terre récemment exhumé par le Studio St. Laurent et chroniqué ici soulignait les affinités électives qui réunissaient l’art sévère du premier au lyrisme du second.
Messiaen avant Messiaen ? Le triptyque des années trente contient pourtant toute la pensée musicale de l’auteur des Vingt Regards, la propension à l’extase, les espaces planes et infinis des cordes Continuer la lecture de Cahiers oubliés→
Il faut passer sur le ton un peu halloween du récitant, Pál Mácsai se prend pour Nosferatu, mais dès que le brouillard de l’orchestre Continuer la lecture de Sept portes→
Le couplage peut étonner : Beethoven et Sibelius, mais pourtant Christian Tetzlaff n’est pas le premier à l’oser, et il a sa raison. En leurs époques respectives, les opus de Beethoven et de Sibelius marquèrent une révolution Continuer la lecture de Serioso→
Le giocoso qui ouvre la Deuxième Sonate de Mendelssohn a un petit côté Songe d’une nuit d’été, c’est une pure musique de plaisir où le violoncelle se fait chanteur avant que faire paraître Puck dans les pizzicatos du scherzando. Continuer la lecture de Ivresse→