Ferruccio Busoni et Giacomo Puccini envisagèrent un temps de mettre en musique la pièce d’Oscar Wilde, mais finalement Karl Audirieth, juste avant la Première Guerre mondiale, puis Alexander von Zemlinsky au cœur de celle-ci (1916) leur brulèrent la politesse.
Finalement, Herbert von Karajan eut gain de cause. Après des saisons passées à redorer le blason des Wiener Symphoniker, il fut décrété en 1955 chef à vie de ses chers Philharmoniker, l’autre phalange de la ville avec laquelle il avait gravé ses premiers 78 tours, puis Salzbourg tomba inévitablement dans son escarcelle l’année suivante. Continuer la lecture de Philharmoniker→
Elle le jouait toujours pour elle-même d’abord, y revenant sans cesse, l’essayant plusieurs fois au disque, mais ne s’y trouvant libre absolument qu’en concert. À Helsinki, ce soir d’avril 1993Continuer la lecture de Prières→
Jommelli avait choisi l’Allemagne, à Stuttgart il composa seize années durant ses chefs-d’œuvre lyriques innovant un nouveau chapître dans l’histoire de l’opera seria. Mais ses charges à la cour de Wurtemberg lui permirent aussi de s’adonner Continuer la lecture de Requiem de cour→
L’Allegro du Concerto en ut mineur aura-t-il jamais dansé à ce point, vrai gigue que les deux claviers gymnastes d’Olivier Fortin et d’Emmanuel Frankenberg envolent sur les cinq archets rugissants menés grand train par Sophie Gent ? Continuer la lecture de Bach danse→