Revenant à Glyndebourne, Le Barbier de Séville s’y trouve habillé de neuf (et relativement en moderne) par Annabel Arden qui le réduit à un spectacle pour rire.
Cela se regarde le sourire aux lèvres Continuer la lecture de Pour rire
Revenant à Glyndebourne, Le Barbier de Séville s’y trouve habillé de neuf (et relativement en moderne) par Annabel Arden qui le réduit à un spectacle pour rire.
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Furtwängler aimait le timbre chaleureux de son violon, la distinction de ses phrasés, l’élévation naturelle de son jeu, Edwin Fischer, pour deux Sonates de Brahms inoubliables, avait accordé son piano tonnant à la lyrique effusive de celle qui fut Continuer la lecture de Les Muses
Le cycle, absolument allemand de thème, d’esprit, est périlleux en diable, Brahms s’y étant risqué cette fois – ce sera la seule – à marcher dans les traces de Schubert, sans en retrouver le génie. Fischer-Dieskau sauva cet opus de ballades un peu univoque en mettant plus l’accent sur les mots de Ludwig Tieck Continuer la lecture de Madelon
L’art de John Browning a toujours souffert d’un malentendu. Parce qu’il avait les meilleurs doigts du monde, un jeu parfait, une carrure d’athlète, parce que, ne jouant que le Troisième Concerto de Prokofiev, il apprit en un temps record pour le disque Continuer la lecture de Le piano pense
En 1977, Alfred Schnittke mit le pont final à son premier Concerto grosso. Il en écrira six, manifestes de ce « polystylisme » qui conférera à ses œuvres d’orchestre un rayonnement international Continuer la lecture de À la source