Des ballets, des rites, des récits et des contes ? Klaus Mäkelä tourne le dos à tout ce que l’on sait du Sacre du printemps et de L’Oiseau de feu.
Le premier ne sera pas ce manifeste Continuer la lecture de Abstractions
Des ballets, des rites, des récits et des contes ? Klaus Mäkelä tourne le dos à tout ce que l’on sait du Sacre du printemps et de L’Oiseau de feu.
Le premier ne sera pas ce manifeste Continuer la lecture de Abstractions
Lorsqu’Antal Doráti prit à l’automne de 1977 le magister de l’Orchestre Symphonique de Detroit, la phalange de la capitale de l’industrie automobile cherchait à renouer avec l’âge d’or de l’époque Paul Paray. Le disque l’avait ignoré au long des années soixante Continuer la lecture de Chant du cygne
Fluide, immense, mais lyrique avant tout. Sir Simon Rattle revient à la Deuxième Symphonie de Rachmaninov qui n’a jamais vraiment quitté son répertoire Continuer la lecture de Les deux Russies
Programme étrange. Pour ce qui fut en 2016 leur premier opus à quatre mains, Herbert Schuch et Gülru Ensari contrastaient une savante alternance des Valses de Brahms Continuer la lecture de Danses et sacrifice
Je désespérais de retrouver le piano lyrique d’Herbert Schuch : après avoir quitté Oehms pour Naive Classique, qui ne lui aura consacré qu’un disque, il n’avait plus d’éditeur. Mais le revoilà, en duo – quatre mains ou deux pianos – avec Gülru Ensari Continuer la lecture de Obsession Debussy